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"En dix ans, le CNRS a perdu 3 000 emplois […]. Que ceux qui trouvent ça bien lèvent la main ! Aujourd’hui, on a le choix entre la LPPR ou rien, car il n’y a pas de plan B." Telle est l’opinion qu’exprime le PDG du CNRS, Antoine Petit, sur la loi de programmation de la recherche, lors d’une rencontre avec la presse le 17 septembre 2020. Il précise notamment ses vues sur la manière dont le CNRS compte utiliser plusieurs dispositions de la loi : nouvelle répartition du préciput, recours aux chaires de professeur junior et aux CDI de mission, mobilités entre l’industrie et la recherche publique… Antoine Petit évoque aussi le plan de relance et le PIA 4, ainsi que les conditions de travail et de recrutement au CNRS sur fond de crise sanitaire. Quant au budget d’Horizon Europe, qui pourrait être revu à la baisse, le PDG se dit "pantois" de "l’atonie de la communauté scientifique".
L’employeur qui n’aménage pas en télétravail, conformément aux préconisations du médecin du travail, le poste occupé par un salarié déclaré inapte, n’exécute pas loyalement son obligation de reclassement dès lors que cet aménagement est compatible avec les missions réalisées par l’intéressé. Peu importe que le télétravail n’ait pas été mis en place dans l’entreprise, cette organisation du travail pouvant résulter d’un avenant au contrat de travail (aujourd’hui, d’un accord par tout moyen). C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt publié du 29 mars 2023.
Voici une sélection d’informations en bref concernant l’actualité sociale dans les branches professionnelles :