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"Je suis tout à fait ouvert à ce que nous discutions d’un certain nombre de contreparties qui pourraient être demandées aux entreprises quand elles bénéficient d’un soutien direct. On a déjà un débat avec les parlementaires de la majorité", affirme Bruno Le Maire le 6 septembre 2020 dans l’émission Le grand rendez-vous (Cnews-Europe 1-Les Échos), trois jours après la présentation du plan de relance. "Une contrepartie possible est qu’il y ait systématiquement un accord d’intéressement ou de participation pour que, lorsque ça va mieux pour l’entreprise, ça aille mieux aussi pour les salariés", ajoute le ministre de l’Économie. Il s’oppose toutefois à introduire des "conditionnalités" qui "voudraient dire que dès qu’on apporte un euro de soutien à une entreprise, il faut négocier des conditions", ce qui ferait "perd[re] du temps au lieu de relancer l’activité économique et créer des emplois".