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Réunis en séance publique le 31 juillet 2020 à l’occasion des débats, en deuxième lecture, de la loi bioéthique, les députés ont rejeté un amendement de Marie-France Lorho (Vaucluse, LS). Le texte prévoyait de modifier l’article 7 ter, qui encadre le don du corps à des fins d’enseignement et de recherche. L’amendement de la députée du Vaucluse visait à assortir "par un engagement écrit, de la part dudit établissement [de don du corps], du respect de la dignité et de l’intégrité du corps du donneur". L’explication de la députée fait référence au scandale du centre du don du corps de l’université Paris-Descartes, où la responsabilité de l’université avait été établie par un rapport de l’IGÉSR et de l’Igas (lire sur AEF info). Par ailleurs, un autre amendement, déposé par Catherine Fabre (Gironde, LREM) a été adopté, et précise notamment "les conditions de restitutions des corps".