En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Invité par l’Ajis à tirer les premières leçons de l’action des ARS dans la gestion de la crise sanitaire, Jean-Yves Grall, directeur général de l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes et président du collège des DG d’ARS, estime que les agences n'ont pas failli. "Peut-être sommes-nous au carrefour des interrogations, mais je maintiens que les ARS ont permis de prendre en charge correctement les éléments de cette crise sur les territoires", déclare-t-il le 2 juillet. Il détaille les cinq propositions de la note rédigée par les DG d’ARS pour le "Ségur de la santé" et qui ont été transmises à Olivier Véran.
Un décret publié vendredi 20 mars au JO détermine les conditions dérogatoires de prise en charge des activités de télésoin réalisées par les infirmiers pour les personnes dont le diagnostic d’infection au covid-19 a été posé cliniquement ou biologiquement. Elles pourront bénéficier d’activités de télésoin même si elles ne remplissent pas les conditions de droit commun, notamment parce qu’elles n’ont pas réalisé au préalable une première consultation en présentiel avec un infirmier. Ces activités de télésoin pourront être réalisées en utilisant n’importe lequel des moyens technologiques actuellement disponibles pour réaliser une vidéotransmission. Lorsque le patient ne dispose pas du matériel nécessaire pour réaliser une vidéotransmission, les activités de télésoin pourront être effectuées par téléphone. Le décret prévoit aussi une exonération du ticket modérateur sur les téléconsultations réalisées pour les personnes dont le diagnostic d’infection au covid-19 a été posé ou suspectées de l’être ainsi que pour les actes de télésuivi infirmier.