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"L’exemple de l’accident nucléaire à Fukushima a montré qu’il a fallu trois ans avant de retrouver le niveau antérieur de mobilité au Japon. Cette fois, la crise est plus profonde", déclare Patrick Nédellec, le directeur Europe de la recherche et coopération internationale du CNRS, dans une interview à AEF info. Il souligne que "chaque année, 20 000 chercheurs partent en mission hors d’Europe et 40 000 en Europe. Pendant trois mois, toutes les missions ont été interrompues et les chercheurs concernés n’attendent qu’une chose : la réouverture des frontières". Ces restrictions de mobilité ont des conséquences plus importantes sur les projets à court et moyen terme que sur les partenariats plus structurants qui "constituent des poches de résilience". Et, malgré "l’impact sur les projets de coopérations", "cela n’a eu aucunement impacté [la] stratégie globale à l’international" du CNRS.
L’employeur qui n’aménage pas en télétravail, conformément aux préconisations du médecin du travail, le poste occupé par un salarié déclaré inapte, n’exécute pas loyalement son obligation de reclassement dès lors que cet aménagement est compatible avec les missions réalisées par l’intéressé. Peu importe que le télétravail n’ait pas été mis en place dans l’entreprise, cette organisation du travail pouvant résulter d’un avenant au contrat de travail (aujourd’hui, d’un accord par tout moyen). C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt publié du 29 mars 2023.
Voici une sélection d’informations en bref concernant l’actualité sociale dans les branches professionnelles :