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Après deux sondages réalisés fin mars (lire sur AEF info) et mi-avril (lire sur AEF info) sur les conséquences de la crise du Covid-19 sur la force de travail française, le cabinet Empreinte Humaine diffuse, le 9 juin 2020, une troisième vague (1) dressant un état des lieux deux semaines après le déconfinement, avec un focus sur les risques psychosociaux et la question de la résilience. Si la détresse psychologique des salariés est en légère baisse, bien qu’elle reste prégnante, la moitié des salariés souhaite que l’employeur les aide à mieux à appréhender psychologiquement leur travail.
Les mesures dites barrière, y compris "la distanciation physique d’au moins un mètre entre deux personnes", "doivent être observées en tout lieu et en toute circonstance". C’est ce que prescrit un décret du 11 mai 2020, publié le jour même du début du déconfinement. Le texte précise notamment que les usagers des transports en commun sont tenus de porter un masque. Il dispose également que les rassemblements de plus de 10 personnes, autres que professionnels, dans un lieu public, sont interdits. Si besoin, le préfet de département peut interdire les réunions et rassemblements, même professionnels, "lorsque les circonstances locales l’exigent". Lorsqu’une activité professionnelle, par nature, ne permet pas de maintenir la distanciation entre le professionnel et le client ou l’usager, le professionnel met en œuvre les mesures sanitaires de prévention, dont le port du masque.