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Le contact tracing a démarré le 13 mai 2020, deux jours après le début du déconfinement. Ce dispositif vise à "identifier, suivre et isoler les personnes malades et contagieuses", et à recenser pour chacun de ces patients l’ensemble des personnes avec qui ils ont été en contact rapproché, pour les inviter à se faire tester et à observer une période d’isolement. L’identification des personnes contacts est assurée en trois niveaux : les professionnels de santé pour les cas individuels, l’Assurance maladie pour le tracing, l’ARS pour les clusters. AEF info dresse un premier bilan de ce dispositif, trois semaines après son lancement, avec les acteurs des régions Pays-de-la-Loire, Occitanie et Grand Est. Qui est à la manœuvre ? Quels sont les premiers chiffres recueillis ? Qui sont les "traceurs" ? Comment est accueilli le dispositif par le public ?
Olivier Véran a détaillé ce 7 mai les consignes à suivre par les personnes Covid+ et celles suspectées d’être porteuses du virus à la suite de contacts ne respectant pas la distanciation physique après le début du déconfinement le 11 mai. Leur prise en charge par le système de santé sera le fait en premier lieu des médecins traitants, des médecins de garde, et de médecins désignés après appel au 15. Les personnels de l'assurance maladie et des ARS interviendront en appui des médecins de ville pour assurer un suivi des personnes en isolement. Aucun fichier national nouveau ne sera créé.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :