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Dans un courrier adressé le 13 mai 2020 au Premier ministre, l’AD-PA, la Fehap, l’UNA, l’ADMR, la Fesp, Adédom, le Synerpa domicile, et la Fedesap ont exprimé leur "incompréhension" et leur crainte de ne pas voir les personnels de l’aide à domicile recevoir de prime comme les autres soignants, alors que des négociations entre l’État et les départements doivent en décider. Rappelant leur rôle dans l’accompagnement des plus fragiles pendant la crise, les fédérations demandent l’attribution d’une prime suivant "les mêmes règles que pour les Ehpad", à savoir une prime allant de 1 000 à 1 500 euros.
La prime aux soignants et au personnel non-médical des hôpitaux sera versée "dans les prochaines semaines", probablement "sur les paies de mai ou de juin", a déclaré mercredi la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye à l’issue du conseil des ministres. "Le décret est sur le point d’être signé", a-t-elle souligné lors du compte rendu du conseil des ministres (lire sur AEF info). Cette prime, promise par Emmanuel Macron fin mars et précisée par le gouvernement mi-avril, sera d’au moins 500 euros pour tous les membres du personnel hospitalier et de 1 500 euros pour ceux travaillant dans des établissements ou services accueillant des malades du Covid-19. Exemptées d’impôts et de cotisations sociales, ces gratifications coûteront au total à l’État 1,3 milliard d’euros, avait précisé le ministre de la Santé Olivier Véran.
Le Conseil d'État confirme le 22 mars 2023 l’annulation de l’homologation du document unilatéral relatif au plan de sauvegarde de l’emploi de l’Afpa, au motif que l’administration n’a pas vérifié le respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Les hauts magistrats précisent à cette occasion l’étendue du contrôle par l’administration, à l’occasion de l’examen d’un PSE, du respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques psychosociaux.