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"J’estime que 60 % de nos volontaires accèdent encore aux exercices, nous avons plus de 90 % des jeunes avec lesquels le lien n’est pas rompu", explique Nathalie Siprès, la DG par intérim de l’Epide, qui prenait en charge 2 000 jeunes au moment du confinement dont 10 % sont toujours hébergés par l’établissement faute de solution dans des hôtels, foyers… La continuité pédagogique est complexe à mettre en œuvre dans des parcours individualisés pour des jeunes en difficulté, elle se matérialise via des plateformes de révision du code de la route notamment, mais les équipes éducatives maintiennent avant tout un lien, tandis que Nathalie Siprès prépare le déconfinement. "Concrètement, nous devons d’abord identifier nos capacités d’accueil avant de reprendre des jeunes après le déconfinement. Il faut qu’on continue d’accompagner ceux qui sont déjà pris en charge."