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Les partenaires sociaux de la CPRIA d’Auvergne-Rhône-Alpes attirent l’attention des pouvoirs publics sur la situation des entreprises artisanales : l’arrêt de l’activité en raison de la crise sanitaire les met "en danger en raison de la faiblesse de leur trésorerie et de l’ampleur du choc", le chiffre d’affaires étant au plus bas. "Nous avons une expertise, une connaissance des réalités de la vie de nos entreprises", "nous demandons à être entendus et écoutés", affirment-ils. Dans un communiqué du 9 avril 2020, ils posent plusieurs questions, sur l’accès aux équipements de protection pour les entreprises ouvertes, ou à la médecine du travail pour les salariés. La CPRIA demande que la date fixée pour le calcul de la chute du chiffre d’affaires, ce dernier permettant d’avoir accès au fonds de solidarité pour les petites entreprises, soit celle du début de confinement et non début mars.
« 350 représentants syndicaux et patronaux de l'artisanat dans une salle à discuter de sujets compliqués : au final, il n'y a ni mort, ni blessé ! C'est le message que l'on veut faire passer à tous ceux qui n'ont pas voulu jouer le jeu du dialogue social dans l'artisanat », déclare Laurent Berger (CFDT), à l'issue de la réunion nationale des membres des 22 CPRIA (Commissions paritaires régionales interprofessionnelles de l'artisanat), mercredi 25 janvier 2012. Après une journée de travail réunissant l'ensemble des représentants syndicaux et des représentants patronaux au sein des CPRIA, les représentants nationaux des organisations signataires (1) de l'accord du 12 décembre 2001 relatif au développement du dialogue social dans l'artisanat se disent satisfaits de la montée en charge du dispositif. S'adressant au Medef et à la CGPME qui ont mené une « bataille juridique » contre l'accord de 2001 et ont pesé sur les débats parlementaires de 2010 sur le dialogue social dans les TPE, Philippe Lattaud (CGT) estime ainsi « leur donner une leçon d'innovation sociale et de syndicalisme ».