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La ville de Brest prend en charge, depuis longtemps, tout ou partie du coût de la restauration scolaire dans les écoles publiques ; près de 25 % des enfants bénéficient de la gratuité totale des repas. Avec la fermeture des écoles et le confinement, les enfants qui fréquentaient habituellement les restaurants scolaires déjeunent désormais tous les jours dans leur famille. La ville de Brest a décidé de fournir aux parents de ces enfants une aide exceptionnelle, sous forme de chèques alimentation, distribués par les agents de la ville directement dans les boîtes aux lettres des bénéficiaires.
Les écoles publiques de la ville de Brest vont faire l’objet, à partir de la rentrée 2019, d’importants travaux de rénovation énergétique, pour un montant de 10 millions d’euros HT, jusqu’en 2022. L’objectif est d’atteindre une réduction de la facture énergétique de 37 %. Le portage des travaux est assuré par la société publique locale Brest métropole aménagement, via un marché de partenariat de performance énergétique. Brest métropole aménagement engage ensuite un contrat de prêt avec les partenaires bancaires et un marché global de performance avec un groupement d’entreprises. Ce dispositif offre "une meilleure visibilité budgétaire sur l’investissement ainsi que des garanties de respect du calendrier de réalisation des travaux", explique la ville de Brest.
Le gouvernement va mettre en place d’ici la fin avril 2019 une mesure du plan pauvreté, en aidant 10 000 communes à proposer des repas à 1 euro dans les cantines scolaires (lire sur AEF info). "À Lille, parce que nous avions remarqué que beaucoup d’enfants n’allaient plus à la cantine après le 15 du mois, nous avons divisé les tarifs de cantine dès 2008 !", indique la mairie, dans un communiqué publié le 8 avril. En fonction des quotients familiaux, 45 % des élèves payent 1 euro au maximum leur repas - 25 % d’entre eux le paient même 50 centimes. La municipalité précise qu’elle propose aussi des petits-déjeuners gratuits dans ses accueils périscolaires, une autre mesure du plan pauvreté. Les élèves qui ne participent pas aux activités périscolaires mais "dont les directeurs d’école auraient détecté qu’ils ont le ventre vide" ont aussi droit à des petits-déjeuners gratuits.