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Alors que le pic de l’épidémie de coronavirus n’a pas encore été atteint en France, les entreprises continuent à s’adapter. Renault, qui avait déjà stoppé une partie de sa production depuis le 16 mars, annonce la mise en activité partielle des collaborateurs de ses établissements d’Île-de-France de façon temporaire, ainsi que l’ouverture d’une négociation entre direction et organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CGT et FO) pour "proposer un contrat de solidarité et d’avenir pour Renault SAS et ses filiales industrielles en France". Un projet qui s’inscrit dans "une volonté d’adapter le fonctionnement du groupe à la conjoncture", aux travers de trois enjeux : mettre en place un système solidaire pour maintenir la rémunération nette de tous les salariés, ajuster le calendrier des mesures salariales et soutenir au mieux la reprise d’activité.
"Il n’incombe pas à l’employeur de garantir l’absence de toute exposition des salariés à des risques mais de les éviter le plus possible et s’ils ne peuvent être évités, de les évaluer régulièrement en fonction notamment des recommandations du gouvernement, afin de prendre ensuite toutes les mesures utiles pour protéger les travailleurs exposés", écrit le ministère du Travail dans une fiche publiée sur son site internet le 25 mars 2020. Dans le contexte d’épidémie de coronavirus, le ministère fait le point sur les obligations de l’employeur en matière de santé et sécurité des salariés.