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"Entre 5 % et 10 % des étudiants, voire davantage, soit n’ont pas d’équipement numérique - ou souvent uniquement leur smartphone -, soit pas de réseau", alerte l’association des VP numérique des universités, interrogée par AEF info le 24 mars 2020. "Le confinement lié à l’épidémie de Covid-19 a mis en évidence la difficulté à faire face à la fracture numérique qui peut toucher les étudiants", souligne ainsi le réseau, qui revient sur les pistes développées par les établissements pour maintenir une continuité pédagogique sans risquer de couper des étudiants des enseignements.
L’Unef, l’UNL, la FCPE et Plus lancent la plateforme "Covid-19 : SOS Éducation" pour informer "les jeunes sur leurs droits", annoncent les organisations vendredi 20 mars 2020. "Il est plus que nécessaire de mettre en place des outils afin d’informer, d’orienter et d’accompagner les jeunes et leurs parents dans cette période qui peut susciter beaucoup de confusion", estiment ces organisations. L’objectif est que les "jeunes puissent connaître leurs droits en matière d’examens, de validation ou même de stages".
La Dgesip met en ligne un ensemble de ressources "afin d’accompagner au mieux les établissements dans leurs démarches" de gestion des conséquences du Covid-19. Dix fiches, élaborées dans le cadre du "plan de continuité pédagogique", ont par exemple pour thème "enseigner à distance", "examens à distance", "stages", "comités de sélection et jurys de thèse". Figure, par ailleurs, dans ces ressources un texte listant des "questions-réponses" sur les conséquences du Covid-19 pour l’apprentissage. La Dgesip propose aussi une adresse mail pour "toute question d’ordre politique, juridique ou financière" d’une part (continuite-pedagogique-covid19@enseignementsup.gouv.fr) et un lieu échange de bonnes pratiques sur le réseau social Whaller d’autre part.
Lorsqu’une substance toxique est utilisée illégalement par un employeur, les salariés qui y ont été exposés peuvent obtenir une indemnisation réparant l’atteinte à leur dignité, distincte de celle qui répare leur préjudice d’anxiété. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt du 8 février 2023 qui figurera au rapport annuel. L’affaire concerne un site de Rhône Poulenc chimie, devenu Rhodia opérations, qui avait continué à utiliser de l’amiante illégalement entre 2002 et 2005.