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Le parquet national antiterroriste annonce, dans un communiqué publié lundi 16 mars 2020, le renvoi aux assises des vingt personnes soupçonnées d’avoir participé aux attentats du 13 novembre 2015 commis à Paris et à Saint-Denis. Les cinq magistrats instructeurs saisis de l’information judiciaire ont ordonné leur "mise en accusation devant la cour d’assises spécialement composée". Parmi elles, quatorze sont mises en examen et six sont visées par un mandat d’arrêt. L’ordonnance suit les réquisitions du Pnat, formulées en novembre 2019.
Le parquet national antiterroriste annonce, dans un communiqué publié lundi 21 octobre 2019, la clôture des investigations sur les attentats du 13 novembre 2015 commis à Paris et Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) (lire sur AEF info). Les magistrats instructeurs saisis de l'information judiciaire "ont communiqué le dossier d’instruction au parquet national antiterroriste à des fins de règlements". À l’issue de l’enquête, "quatorze personnes sont mises en examen dont onze placées en détention provisoire et trois sous contrôle judiciaire", précise le Pnat. "Six personnes sont par ailleurs visées par un mandat d’arrêt." Selon le communiqué, 1 740 personnes physiques et morales se sont constituées partie civile. Le parquet antiterroriste dispose désormais "d’un délai d’un mois pour adresser aux juges d’instruction ses réquisitions" et, selon toute vraisemblance, décider du renvoi vers la cour d’assises spéciale.
"Près de trois ans après les faits", 70 % des Français considèrent que les attentats du 13 novembre 2015 "figurent parmi les actes terroristes qui les ont le plus marqués depuis l’an 2000", indique le Crédoc dans son enquête publiée vendredi 9 novembre 2018. Cette proportion, en baisse de 10 points par rapport à 2016, "reste élevée et plus importante que pour d’autres événements tragiques plus récents". La réaction forte de la puissance publique – avec, notamment, la déclaration de l’état d’urgence – est une des hypothèses avancées par les chercheurs.