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Le groupe Fiducial sécurité annonce, mardi 3 mars 2020, qu’il va proposer des prestations d'"agents de surveillance renforcés", c’est-à-dire dotés d’armes de catégorie D (bombes lacrymogènes, tonfa, bâtons télescopiques) et B (armes à feu). "Ce nouveau développement répond aux exigences de premier ordre et vient suppléer l’État qui se voit dans l’obligation de transférer certaines de ses compétences", estime l’entreprise dans un communiqué. Fiducial sécurité annonce en outre la nomination de Christophe Beuzit comme directeur des activités de sûreté renforcée.
L’Unafos obtient l’avis favorable du ministère de l'Intérieur pour la création de deux titres professionnels permettant à des agents de sécurité d’exercer armés, apprend AEF info, jeudi 9 janvier 2019. L’organisation patronale regroupant les centres de formation spécialisés dans la sécurité privée souhaite créer un titre permettant à des agents d’utiliser des armes de catégorie D – matraques, gaz lacrymogène… –, et un titre formant également à l’usage d’une arme à feu de catégorie B.
France compétences publie, mercredi 18 décembre 2019, une première liste annuelle de "métiers émergents ou en forte évolution". Les certifications professionnelles correspondant à ces professions pourront ainsi bénéficier "d’une procédure simplifiée d’enregistrement au RNCP", souligne l’organisme. Sur 17 métiers identifiés, trois relèvent directement de la sécurité privée.
"Les gardes armés constitueront en quelque sorte l’aristocratie de la sécurité privée", estime Alain Juillet, président honoraire du CDSE, lors d’une table ronde organisée au salon APS, jeudi 3 octobre 2019. Il souligne que le métier d’agent de sécurité armé sera particulièrement "compliqué" et contraignant. "Cela n’aura rien à voir avec le gardiennage ou la surveillance classiques." Tibor Vass, président de LPN sécurité, estime pour sa part que ce métier sera essentiellement exercé par "d’anciens policiers ou d’anciens militaires".