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Home| Social / RH| Ressources humaines| Dépêche n°620244

Le délai de deux mois pour engager des poursuites disciplinaires n’est pas reporté en cas d’investigations trop tardives

Lorsque l’employeur diligente des investigations complémentaires pour établir la réalité de la faute reprochée à un salarié protégé, le délai de prescription des faits fautifs de deux mois n’est reporté que si ces investigations ont été menées "avec diligence dans un délai raisonnable, sauf à ce qu’un fait nouveau justifie qu’elles n’aient pu être déclenchées auparavant". C’est ce que juge le tribunal administratif de Melun le 22 novembre 2019. En l’espèce, l’employeur avait laissé passer trois mois entre l’explication du salarié sur les faits reprochés et le recours à un huissier.

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L’ouverture d’une enquête préliminaire n’interrompt pas le délai de deux mois pour engager des poursuites disciplinaires

L’ouverture d’une enquête préliminaire, qui n’a pas pour effet de mettre en mouvement l’action publique, n’est pas un acte interruptif du délai de deux mois, prévu à l’article L. 1332-4 du code du travail, dont dispose l’employeur pour engager des poursuites disciplinaires. C’est ce que précise la Cour de cassation dans un arrêt du 13 octobre 2016.

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Sélection de jurisprudence sur les représentants du personnel (discrimination syndicale, procédure disciplinaire, DUP)

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Faute d'un salarié et poursuites pénales : précisions sur l'interruption du délai de deux mois pour engager une procédure disciplinaire

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