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Un niveau d’insertion professionnelle "jamais atteint" en master, une insertion plus rapide mais qui plafonne en LP, un taux d’insertion en hausse pour les 10 % de diplômés de DUT qui se dirigent vers la vie active : c’est ce qu’indiquent trois Notes Flash du Sies synthétisant les résultats des enquêtes annuelles d’insertion coordonnées par le MESRI, publiées le 11 décembre 2019. Ces enquêtes portent sur l’insertion après 18 et 30 mois de vie active des 109 500 diplômés de master en 2016, ainsi que des 48 000 diplômés de licence professionnelle et des 48 000 diplômés de DUT.
90 % en master, 91 % en licence professionnelle et 88 % en DUT : ce sont les taux d'insertion professionnelle des jeunes diplômés 2010, 30 mois après l'obtention de leur diplôme, ainsi que l'indiquent les résultats de l'enquête commune 2012 (1), rendus publics par le MESR le 18 décembre 2013 (AEF n°471871). Enquêter avec une méthodologie commune résulte de la nouvelle mission de service public - l'orientation et l'insertion professionnelle – que la loi LRU confie aux universités. Si elle démontre que l'université n'est pas « une usine à chômeurs », selon la CPU, l'enquête pose aujourd'hui encore, après quatre éditions, nombre de questions. Comment concrétiser les obligations de la nouvelle loi ESR ? Comment comparer ? Faut-il labelliser l'enquête elle-même, ses opérateurs, son processus ? À qui sert cette enquête ?