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Pascal Barbry, directeur de recherche au CNRS, est élu président du Cancéropôle Provence-Alpes-Côte d’Azur, réuni en assemblée générale jeudi 28 novembre 2019. Il succède à Jean-Marc Gambaudo, président de la Comue Université Côte d'Azur, qui a quitté son mandat huit mois avant son terme (lire sur AEF info).
« Il y a une vraie utilité des cancéropôles dans le paysage de la recherche en cancérologie. Pour être inscrit dans les prochaines actions de notre pays contre le cancer, dans le cadre d'un futur plan cancer III annoncé pour 2014, il importe que le cancéropôle Paca en particulier, et le dispositif des cancéropôles en général, préparent leur renouvellement », déclare à AEF Christian Chabannon, directeur du cancéropôle Paca, qui organise son sixième colloque à Marseille les 21 et 22 février 2012, et porte-parole de la coordination des cancéropôles. « À travers des financements incitatifs et des actions de communication scientifique, le cancéropôle Paca s'est ainsi fixé pour objectif de fédérer les acteurs de la communauté scientifique régionale pour faire émerger ou consolider collectivement de nouveaux projets », ajoute-t-il.
Le cancéropôle Paca, jusqu'alors association loi 1901, annonce sa constitution en GIP (groupement d'inérêt public), lundi 30 mai 2011. Réuni à Marseille, son conseil d'administration élit à l'unanimité son président, Yvon Berland, président de l'université de la Méditerranée (Aix-Marseille-II), et son vice-président, Xavier Hébuterne, gastro-entérologue, spécialiste de nutrition et vice-doyen de la faculté de médecine de l'université de Nice Sophia-Antipolis. Christian Chabannon, hématologiste et oncologiste à l'Institut Paoli-Calmettes à Marseille, est nommé directeur pour une durée de trois ans. « Le statut associatif n'était plus souhaitable aux yeux des tutelles. La structuration juridique et administrative en GIP garantit une gestion claire, transparente et formellement encadrée », indique le directeur du cancéropôle Paca dont la labellisation par l'Inca (Institut national du cancer) vient d'être reconduite pour trois ans à l'issue d'une évaluation de l'Aeres.