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"Le nombre d’arrêts de travail augmente, et ce phénomène touche de très larges proportions de salariés et tous les secteurs d’activité", constate le groupe Apicil, dans un dossier de presse, daté d’octobre 2019. Puisque "cette problématique impacte fortement les entreprises et l’activité des groupes de protection sociale en santé-prévoyance", le GPS choisit de "miser sur l’accélération d’idées innovantes pouvant permettre de répondre concrètement […] au bien-être au travail". Et ce, par le lancement, en octobre 2019, d’un "pré-incubateur" de solutions en faveur de l’innovation sociale.
Caractérisent l’existence d’un risque grave justifiant le recours à une expertise du CHSCT des arrêts de travail, l’épuisement professionnel de plusieurs salariés en lien avec le surcroît de travail occasionné par le rachat d’une cuisine centrale, et la situation difficile d’une direction régionale persistant depuis deux ans. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt non publié du 25 septembre 2019.
Le GPS Apicil lance une nouvelle offre de services axée sur la performance sociale des entreprises, annonce-t-il le 23 février 2017, dans un communiqué. Cette offre vise à "couvrir un spectre plus large que la santé stricto sensu, pour toucher tous les aspects de la qualité de vie au travail", précise Aurélie Blanchet, responsable Services et R & D chez Apicil, au cours d’un entretien accordé à l’AEF, lundi 13 mars 2017. Cette nouvelle offre prévoit notamment des "actions clé en main". L’objectif d’Apicil est d'"accompagner les chefs d’entreprise dans l’évaluation de la santé globale de l’entreprise, d’identifier les risques et de mener des actions correctives, tout en répondant à leurs obligations légales", conclut le groupe.
Publié au JO du mardi 6 juin 2023, le décret n°2023-438 du 5 juin 2023 "adapte les taux horaires minimum de l’allocation d’activité partielle et de l’allocation d’activité réduite pour le maintien en emploi applicables à Mayotte à compter du 1er [mai] 2023 [date de la dernière augmentation du Smic], en cohérence avec les évolutions prévues pour le reste du territoire national". Ce texte "relève à 7,09 euros le taux horaire minimum de l’allocation d’activité partielle applicable à Mayotte, versée à l’employeur à compter du 1er [mai] 2023" et il fixe "à 7,88 euros le taux horaire minimum de l’allocation applicable à Mayotte, versée aux employeurs qui bénéficient de l’activité partielle de longue durée au titre des heures chômées à compter du 1er mai 2023".