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Après une première action le 16 septembre, le Conseil national des barreaux a voté lors de sa dernière assemblée générale, une journée "Justice morte", le 5 décembre. Il entend ainsi confirmer "son engagement ferme" contre le projet de réforme porté par le Haut-commissaire aux Retraites, Jean-Paul Delevoye. Depuis plusieurs semaines, le CNB est vent debout contre la suppression annoncée de son régime. "Les régimes autonomes, qui ne sont pas des régimes spéciaux, fonctionnent parfaitement, ne coûtent pas un euro à l’État," insiste le Conseil. Le CNB et le collectif SOS retraites ont également appelé à une journée de grève nationale et interprofessionnelle le 3 février 2020. À l’appel de certains de leurs représentants, les professions rassemblées (transport aérien, santé, avocat, etc.), "arrêteront leurs activités simultanément et collectivement".
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Le Conseil des barreaux se félicite du dépôt par le gouvernement d’un amendement de suppression des dispositions de l’article 52 du PLFSS 2020 relatives à la retraite des avocats (lire sur AEF info). Celles-ci consistaient à aligner les modalités de revalorisation des pensions de retraite de base servies par le régime d’assurance vieillesse des avocats, aujourd’hui fixées par délibération de l’assemblée générale des délégués de la caisse nationale des barreaux français, sur celles des autres pensions de retraite, pour 2020 et pour l’avenir. Les représentants de la profession menaçaient de ne pas se rendre à la séance de concertation sur la réforme ce 23 octobre 2019 avec la garde des Sceaux et le Haut-commissaire aux retraites.
L’académie de Toulouse veut intégrer 800 élèves de plus dans les Cordées de la réussite en multipliant par deux le nombre de lycéens issus de zones rurales et en encordant 13 nouveaux collèges et lycées, annonce Mostafa Fourar, recteur de l’académie de Toulouse, le 19 janvier 2021. Avec 13 établissements du supérieur "têtes de cordée", une centaine d’établissements du secondaire, 800 tuteurs étudiants et 3 800 élèves accompagnés - la 2e en nombre de bénéficiaires -, il qualifie l’académie de Toulouse d'"exemplaire". Cet objectif rejoint celui du gouvernement qui vient d’annoncer une "dotation exceptionnelle de 2,8 M€" pour 2020-2021 (en plus des 10 M€ prévus dans le plan de relance) afin de "développer les Cordées de la réussite dans les zones rurales et isolées" (lire sur AEF info). Au niveau national, l’objectif est d’atteindre 200 000 élèves accompagnés cette année.
Des difficultés économiques n’excluent pas d’avoir recours à la rupture conventionnelle, sauf si l’employeur entend détourner la procédure de licenciement économique. La Cour de cassation précise le 6 janvier 2021 qu’un employeur ne peut pas dissimuler l’existence d’un PSE en cours de préparation à un salarié qui signe une rupture conventionnelle. Si cette dissimulation a été déterminante du consentement du salarié, sa rupture conventionnelle est nulle pour vice du consentement.