En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le préfet Philip Alloncle, délégué aux coopérations de sécurité au ministère de l'Intérieur depuis 2016, est pressenti pour rejoindre les ministères de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, apprend AEF info, vendredi 8 novembre 2019. Sa nomination au poste de haut fonctionnaire adjoint de défense et de sécurité devrait intervenir dans les jours à venir. Il succédera à Xavier Inglebert, devenu secrétaire général du promoteur privé Alila.
La formation en sécurité privée "attend une loi qui la porte, avec un législateur qui lui fasse confiance", affirme Philipp Alloncle, jeudi 18 avril 2019. Le délégué aux coopérations de sécurité s’exprimait en clôture de l’assemblée générale de l’Unafos, organisée à Paris. Il assure que le rapport sur le "continuum de sécurité" n’est pas "enterré" et estime que la concertation sur les propositions touchant la sécurité privée devrait aboutir à "un certain nombre de mesures sur la formation". "L’effort de formation est le fil conducteur du rapport Thourot-Fauvergue", souligne-t-il.
"Il me semble que la branche n’est pas tout à fait en ordre de marche pour produire un CQP pour les activités nouvelles d’agent de sécurité armé." C’est ce que déplore Philip Alloncle, vendredi 23 novembre 2018, lors d’une "journée professionnelle" organisée par l’Unafos. Le délégué ministériel aux coopérations de sécurité redoute une volonté du secteur de la surveillance humaine "de ne pas accompagner le mouvement". Il appelle le secteur "à s’emparer de ce sujet, pour faire en sorte que cette activité de niche devienne une activité vitrine, avec une formation prise en charge par la branche."
Les arrêtés précisant les modalités d’application du décret du 29 décembre 2017 relatif à l’armement des agents de sécurité privée sont "en phase de signature" après une phase de consultation des organisations professionnelles. C’est ce qu’indique le délégué ministériel aux coopérations de sécurité, Philip Alloncle, lors du 26e congrès du Snes qui se tient à Lyon jusqu’au vendredi 22 juin 2018. Le préfet, mais aussi Valérie Derouet, présidente du collège du Cnaps, et Pascal Pech, président du Snes, reviennent par ailleurs sur les évolutions en cours de la profession.
"Nous aurons une exigence forte sur le niveau des formateurs des agents de surveillance armés", déclare Philip Alloncle, vendredi 6 avril 2018. Le délégué aux coopérations de sécurité s’exprimait lors d’une journée professionnelle organisée à Paris par l’Unafos (Union nationale des acteurs de formation en sécurité). "Par prudence, nous souhaiterions que les instructeurs soient soumis aux exigences très fortes de nos formateurs de police et de gendarmerie, pour que demain ils puissent former eux-mêmes des personnels du secteur privé", précise Philip Alloncle. Il évoque par ailleurs la formation continue des agents de sécurité privée. Le président du Snes, Pascal Pech, appelle de son côté à une "remise à plat du dispositif de formation" dans le domaine de la surveillance humaine, et propose de raisonner par "socles de compétences".