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Une nouvelle étape dans la mise en œuvre de la réforme de la qualité en formation professionnelle a été franchie avec la présentation du nom et du logo de la "marque de certification qualité des prestataires d’actions de formation". Le ministère du Travail et l’APIE (Agence de la propriété intellectuelle de l’État), en s’appuyant sur les travaux d’acteurs de la formation, ont choisi "Qualiopi" comme nom de cette labellisation qui sera donc attribuée aux prestataires de formation, de VAE, de bilans de compétences et aux CFA en fonction du respect du référentiel national de qualité.
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L’académie de Toulouse veut intégrer 800 élèves de plus dans les Cordées de la réussite en multipliant par deux le nombre de lycéens issus de zones rurales et en encordant 13 nouveaux collèges et lycées, annonce Mostafa Fourar, recteur de l’académie de Toulouse, le 19 janvier 2021. Avec 13 établissements du supérieur "têtes de cordée", une centaine d’établissements du secondaire, 800 tuteurs étudiants et 3 800 élèves accompagnés - la 2e en nombre de bénéficiaires -, il qualifie l’académie de Toulouse d'"exemplaire". Cet objectif rejoint celui du gouvernement qui vient d’annoncer une "dotation exceptionnelle de 2,8 M€" pour 2020-2021 (en plus des 10 M€ prévus dans le plan de relance) afin de "développer les Cordées de la réussite dans les zones rurales et isolées" (lire sur AEF info). Au niveau national, l’objectif est d’atteindre 200 000 élèves accompagnés cette année.
Des difficultés économiques n’excluent pas d’avoir recours à la rupture conventionnelle, sauf si l’employeur entend détourner la procédure de licenciement économique. La Cour de cassation précise le 6 janvier 2021 qu’un employeur ne peut pas dissimuler l’existence d’un PSE en cours de préparation à un salarié qui signe une rupture conventionnelle. Si cette dissimulation a été déterminante du consentement du salarié, sa rupture conventionnelle est nulle pour vice du consentement.