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"La Fédération française de la sécurité privée n’a aucun rôle à jouer dans le pilotage du dialogue social", assure son président, Claude Tarlet, dans une interview accordée à AEF info. Il souligne que l’association réunissant plusieurs organisations patronales de la sécurité privée a pour objectif de "casser les silos intellectuels" de ce secteur pour permettre "l’émergence d’une pensée alliant à la fois le monde de l’intelligence, le monde des technologies et le monde des ressources". Après avoir récemment accueilli l’ADMS et l’Agora fonctions en son sein, la fédération "continuera à s’ouvrir au paysage économique", assure-t-il. "Nous souhaitons que cette dynamique de réflexion intègre l’ensemble des organisations qui représentent nos clients." L’ancien président de l’USP revient par ailleurs sur la fusion de l’organisation patronale avec le Snes.
Les représentants du GES (Groupement des entreprises de sécurité) au sein du collège du Cnaps (Conseil national des activités privées de sécurité) sont désignés par arrêté publié au Journal officiel du mardi 3 septembre 2019. Au nombre de quatre, ils siègent au titre des activités de surveillance et de gardiennage. Ils remplacent les représentants du Snes et de l’USP.
"La Fédération française de la sécurité privée fait partie des adhésions naturelles et évidentes pour le Groupement des entreprises de sécurité", affirme Pierre Bouzin, ancien délégué général de l’USP, dans un texte publié mardi 13 août 2019. Il pointe "les positions fortes prises par les anciennes structures du Snes" au sein de l’organisation patronale issue de la fusion du Snes et de l’USP. "Le GES est, à tous les niveaux, sous l’influence forte des anciens acteurs du Snes." Pierre Bouzin estime par ailleurs que "l’entreprise de démolition du Cnaps semble avoir débuté".