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"Surveillance, sécurité, données… la smart city est-elle autoritaire ?" C’était la question posée, mardi 10 septembre 2019, aux intervenants du débat organisé par le think tank La Fabrique de la cité. "On ne désinventera pas les technologies ; elles sont là, il faut qu’on travaille à en fixer les limites, de façon démocratique", recommande Cécile Maisonneuve, présidente de l’organisation. D’autant que "le risque [lié à la réutilisation des données] reste trop lointain pour une prise de conscience" des citoyens, selon Régis Chatellier, chargé d’études à la Cnil.
À quoi ressemble la smart city à la française ? À l’heure où des politiques dédiées au territoire intelligent émergent dans les villes et métropoles, AEF info dresse le portrait "smart" de plusieurs collectivités. Thématiques de prédilection, mise en place de programmes spécifiques, moyens alloués, conséquences sur l’organisation en interne et sur les circuits de décision, création de nouveaux partenariats avec le privé, ou encore implication des citoyens sont autant de points abordés avec ceux et celles qui tiennent les manettes opérationnelles de ces démarches. Jean-Noël Cornut, conseiller municipal délégué auprès du maire de Saint-Étienne sur la cité numérique, et Sébastien Valla, directeur de la DSIN mutualisée à la ville et à la métropole, expliquent la démarche stéphanoise dont le projet phare s’inscrit dans un quartier sensible.