En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le GES (Groupement des entreprises de sécurité) a "bien d’autres priorités" que d’adhérer à la Fédération française de la sécurité privée, affirme Olivier Duran, ancien conseiller en communication du Snes, dans un texte publié vendredi 26 juillet 2019. Ne pas rejoindre la fédération constituerait un "acte fondateur fort" pour l’organisation patronale issue de la fusion du Snes et de l’USP, estime-t-il. Olivier Duran réalise par ailleurs un "droit d’inventaire" sur les actions menées par le patronat par le passé.
Danièle Meslier est réélue présidente de l’Association nationale des métiers de la sécurité lors d’une assemblée générale organisée à Aix-en-Provence, jeudi 27 juin 2019, indique l’organisation dans un communiqué transmis à AEF info, mercredi 24 juillet 2019. À l’issue de cette réunion, l’association fait part de ses inquiétudes quant à la perspective d’imposer aux entreprises de sécurité privée une obligation de résultat. L’assemblée générale a été l’occasion d’étudier une possible adhésion à la FFSP et d’évoquer la question de la représentativité patronale de l’organisation.
"Le projet de Pôle d’excellence européen pour la sécurité globale consiste à décloisonner le monde de la sécurité en mettant en place un pôle d’activité et de compétences pour tous les acteurs de la filière", affirme Alain Juillet, jeudi 4 juillet 2019. Il s’exprimait à Lyon lors de la conférence de lancement de ce projet, porté par l’association Fits, qu’il préside. "Le projet est appelé à devenir un centre d’excellence national mais également international en matière de sécurité globale", ajoute-t-il. Les acteurs institutionnels impliqués détaillent en outre les raisons de leur soutien.
28 associations bénéficieront de financements du gouvernement pour mener à bien des actions en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes. Elles ont remporté l’appel à projets lancé en mars 2022, doté d’une enveloppe totale d’un million d’euros. Les projets financés visent en particulier à "permettre à un plus grand nombre de femmes d’accéder à une autonomie économique", à "permettre aux femmes, notamment celles les plus éloignées de l’emploi, de s’insérer professionnellement" et à "promouvoir la mixité dans des secteurs identifiés comme non mixtes".