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Mardi 23 juillet 2019, la CGT Santé a annoncé que les partenaires sociaux, à l’exception de SUD, de la branche sanitaire, sociale et médico-sociale à but privé non lucratif, ont conclu un accord temporaire pour la mise en œuvre de ProA. Il prévoit d’étendre les possibilités de prise en charge à des parcours de 24 mois, voire jusqu’à 36 mois pour certains publics, afin de permettre la prise en charge de diplômes et titres spécifiques au secteur dès septembre prochain. En parallèle, depuis juin dernier, une négociation est ouverte sur le périmètre global de la loi du 5 septembre 2018.
La Croix-Rouge française, la Fehap, Nexem et Unicancer annoncent avoir organisé le 17 avril dernier une assemblée générale constitutive de la Confédération des employeurs du secteur sanitaire, social et médico-social à but non lucratif. "Cette confédération est née de la volonté de travailler ensemble à l’organisation du secteur et de le doter d’une représentation patronale unique", indiquent les membres fondateurs de l’organisation. Cette nouvelle entité "ouvre la voie aux négociations à venir, tant pour la construction d’un socle juridique commun sur des thématiques données (formation professionnelle, qualité de vie au travail, nouveaux métiers, etc.) que pour les sujets propres à certaines composantes de la confédération et de leurs adhérents".
Vendredi 29 mars 2019, Guillaume Couillard, le conseiller technique santé du Premier ministre, Édouard Philippe, et Franck Morel, son conseiller social, ont confirmé aux huit représentants des organisations patronales signataires du second accord constitutif de l’Opco Santé, qu’il obtiendrait bien l’agrément de l’État. "Il y aura donc un Opco Santé, nous a confirmé Matignon. Ils nous ont dit qu’ils avaient tenu compte de notre mobilisation et qu’ils étaient effectivement partis sur un scénario à 10 Opco. Nous avons eu une aimable pression pour opérer un rapprochement d’ici deux à trois ans avec l’Opco Cohésion sociale. Nous avons insisté sur le fait qu’il fallait d’abord faire fonctionner les Opco avant d’envisager une autre décision", détaille à AEF info l'un des participants à la réunion. Finalement, l’État devrait donc agréer 11 Opco, comme le prévoyait le rapport Marx-Bagorski.