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Alors que la création d’établissements expérimentaux concerne une quinzaine de sites, Anne-Sophie Barthez, nouvelle Dgesip, en tire un premier bilan "positif" et évoque "une véritable hybridation des modèles". Elle assure que "la nécessaire unité résulte d’un faisceau d’indices qui varient d’un site à l’autre". Si elle comprend les inquiétudes des écoles, elle rappelle que la conservation de la PMJ "constitue une garantie majeure". Évoquant les cas de l’IMT et du futur établissement agro, elle insiste sur la "portée politique importante" de la double signature du diplôme et annonce la révision d’une circulaire sur ce sujet. Quant à l’accréditation CTI, "il n’y a aucune ambiguïté" : les écoles peuvent continuer à être accréditées mais "l’arrêté fera 'mention' de l’établissement expérimental". Enfin, elle revient sur la tutelle des UMR, qui pourrait être conjointe, et sur les classements.
Alors que les équipes dirigeantes des deux conférences de grandes écoles, Cdefi et CGE, viennent d’être réélues à leurs fonctions, celles-ci publient un communiqué commun, le 20 juin 2019, titré "Politique de site : les écoles d’ingénieurs tirent le signal d’alarme". Dans ce texte, les conférences pointent "la situation délétère" qui "est en train de s’installer sur les différents sites et la perte de valeur collective qui en découle". Les sites de Montpellier, Lyon, PSL, Nantes, entre autres, connaissent en effet des crispations sur la question des prérogatives des écoles d’ingénieurs.