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Après 18 mois de concertation, le Haut-Commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye, a remis ses préconisations au Premier ministre le 18 juillet 2019 après les avoir présentées aux partenaires sociaux. Ces préconisations doivent servir de base à de nouvelles concertations qui devront permettre d’aboutir à un projet de loi annoncé pour la fin de l’année et débattu en 2020, dans la perspective d’une entrée en vigueur en 2025. Tour d’horizon des recommandations touchant les agents publics.
"Nos organisations ont fait la demande, le 28 juin dernier, que soit organisée une réunion d’échange et de présentation du nouveau système de retraite en discussion, comme cela avait été envisagé, en réunissant un Conseil commun de la fonction publique avec la participation de Jean-Paul Delevoye, Haut-commissaire à la réforme des retraites. Cette demande est restée sans réponse à ce jour", regrettent dans un courrier adressé au secrétaire d'État Olivier Dussopt, ce 18 juillet 2019, huit des neuf organisations syndicales représentatives de la fonction publique (CGT, CFDT, Unsa, FSU, Solidaires, FA-FP, CFE-CGC et CFTC), à l’occasion de la présentation par le Haut-commissaire de ses préconisations pour le futur système universel voulu par Emmanuel Macron (lire sur AEF info). Elles renouvellent par conséquent "leur demande de la tenue d’une telle réunion et ce le plus rapidement possible".
Le Haut-commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye, vient de remettre ce jeudi 18 juillet 2019 ses préconisations pour le futur système universel au Premier ministre, Édouard Philippe, après les avoir présentées aux partenaires sociaux. Le rapport est désormais accessible en ligne. Il propose notamment un "âge d’équilibre" à 64 ans avec décote/surcote, un dispositif de réversion unique garantissant un niveau de vie à hauteur de 70 % du total des retraites perçues par le couple, la suppression partielle des catégories actives et l’extension de la pénibilité, un minimum de retraite à 85 % du Smic net ou encore une majoration de 5 % dès le premier enfant.