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Les universités de recherche réunies sous la bannière de la Curif souhaitent une nouvelle répartition des frais d’hébergement et de fonctionnement des unités mixtes de recherche avec les EPST, dont elles disent "actuellement assurer très majoritairement" la charge. La problématique "doit concerner non seulement les tutelles principales, mais aussi les tutelles partenaires", ajoutent-elles. Cette demande figure parmi les propositions soumises par le réseau dans le cadre de la préparation de la loi de programmation pour la recherche, qui abordent notamment les carrières et la valorisation.
QSF demande à la ministre de l’ESRI "de faire inscrire dans le préambule de la prochaine loi de programmation de la recherche la protection [des] libertés constitutives de la liberté académique". Dans un communiqué du 12 avril 2019, l'association liste en effet des "atteintes de plus en plus nombreuses" à cette liberté. Elle appelle "la communauté universitaire et toutes les organisations représentatives à défendre la liberté académique".
"L’État doit abonder le budget de la recherche publique de 5 Md€" et celui de l’enseignement supérieur de 10 Md€, déclare la CGT vendredi 12 avril 2019. Dans un communiqué intitulé "Quelle loi de programmation faut-il à la France ?", elle estime aussi que la loi doit "résorber la précarité" et créer pour cela "10 000 postes de titulaires par an sur six ans". Enfin, la CGT pense que le CIR "ne peut demeurer dans sa forme actuelle" et préconise de "revenir à de grands programmes mobilisateurs". Le SNTRS s’inquiète de son côté de l’avenir même des organismes face aux universités.