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L’Asis International et l’École des officiers de la gendarmerie nationale annoncent, jeudi 27 juin 2019, la signature d’un "partenariat stratégique". Deux membres de l’Asis – association regroupant des professionnels de la sécurité privée – pourront s’inscrire au MBA "management de la sécurité" de l’EOGN chaque année. Par ailleurs, les deux parties s’engagent à développer des modules communs de formation. Nicolas Le Saux, président du conseil consultatif européen d’Asis International, espère, dans le communiqué, que "cet accord ouvrira la voie à des partenariats similaires avec des organisations militaires et de maintien de l’ordre dans d’autres pays européens". De son côté, le général Christophe Boyer, commandant de l’EOGN, souhaite que le partenariat ouvre "de nouvelles possibilités d’interaction avec les principaux acteurs de la sûreté et de la sécurité internationales".
Un groupe de travail du chapitre français de l’association Asis travaille sur la rédaction d’un document sur la menace terroriste en France pour les entreprises, indique Éric Davoine, président de cette association regroupant des professionnels de la sécurité. Ce document, attendu pour la fin de l’année, devrait prendre la forme d’un livre blanc, d’un catalogue de mesures "à destination des entreprises qui n’ont pas de directeur de sécurité".
Le MBA spécialisé "management de la sécurité" de l’École des officiers de la gendarmerie nationale constitue "un projet ambitieux", indique le général Denis Favier, jeudi 26 mars 2015. Lancé en septembre dernier, ce diplôme vise à "confirmer le positionnement de la gendarmerie nationale et à considérer qu’elle est un acteur majeur de la sécurité intérieure", indique le directeur général de la gendarmerie nationale, qui s’exprimait à l’occasion de la cérémonie d’installation d’Alain Bauer et de Pascal Chaigneau à la tête de deux chaires du MBA.
Selon le quatrième baromètre des rémunérations réalisé par le chapitre français de l’Asis et transmis à AEF, mercredi 19 novembre 2014, les cadres de la sécurité, qu’ils exercent en sécurité privée ou en sécurité publique, gagnent en moyenne 48 600 euros bruts par an en France. Ce chiffre est en nette baisse par rapport aux résultats obtenus à l’occasion du troisième baromètre des rémunérations, en 2013, qui estimait alors la rémunération moyenne des cadres de la sécurité à 58 000 euros par an (lire sur AEF). "La baisse des rémunérations est due à deux effets conjugués", estime l’Asis, l’un "structurel", avec un "nombre de réponses [au questionnaire] qui a considérablement augmenté (+100 %)", le second "conjoncturel, avec la présence accrue de prestataires qui souffrent de la situation actuelle" économique.
L’instruction générale interministérielle relative à la sécurité des activités d’importance vitale "change fondamentalement ce que les directeurs de sécurité peuvent légalement demander", estime Éric Davoine, président de l’association Asis France, mercredi 24 septembre 2014, lors d’une table ronde organisée en prélude au salon Expoprotection (1). Cette instruction indique notamment "qu’afin de réduire les risques d’atteintes à un point d’importance vitale, l’OIV peut requérir l’avis de l’autorité administrative ou militaire avant d’autoriser l’accès de certaines personnes aux zones particulièrement sensibles d’un PIV" (lire sur AEF). "Aujourd’hui, les directeurs de sécurité peuvent légalement demander des enquêtes administratives qui étaient auparavant faites illégalement par certains, remarque Éric Davoine. C’est pour cela qu’il y a eu parfois des dérives par le passé."
Un réseau dédié aux femmes dans la sécurité, « women in security », est lancé, mardi 4 décembre 2012, par l'Asis France. C'est ce qu'indique l'association lors du salon Expoprotection, à Paris, dans le cadre d'une conférence animée par Stéphanie Bergouignan, adhérente à l'Asis France et associée du cabinet Atao consulting. « Ce réseau est ouvert à tous, femmes et hommes, indique Stéphanie Bergouignan. Nous voulons donner de la visibilité aux femmes et montrer qu'elles peuvent avoir des compétences. »