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Les résultats des élections au Cneser 2019 pour les représentants des personnels sont enfin tombés, mardi 25 juin 2019. Le vote s’est déroulé le 13 juin (lire sur AEF info). À noter que deux établissements ont voté après cette date : l’INHA et l’Ifremer (1). La CFDT reste la première organisation syndicale au Cneser, avec 13 sièges. Juste derrière, on retrouve la FSU (9 sièges), puis la CGT avec 7 sièges. Les taux de participation aux élections restent très bas : 13,87 % pour le collège des professeurs, 11,59 % pour les MCF, 23,83 % pour les Biatss, 32,54 % pour les chercheurs des EPST (2).
La CFDT arrive en tête des élections des représentants des personnels au Cneser avec 12 sièges, tous collèges confondus, selon les résultats transmis à AEF par deux syndicats, jeudi 11 juin 2015. La FSU arrive à la deuxième place, avec 10 sièges, mais est première force chez les enseignants-chercheurs et chercheurs. Elle est suivie par la CGT (7 sièges) qui est première chez les ITA des EPST. L’Unsa et Force Ouvrière totalisent chacun 3 sièges. Le SNPTES remporte quant à lui 2 sièges et est premier en voix chez les Biatss des EPSCP. Les élections portaient sur différents collèges : 4 collèges des représentants des EPSCP ; deux collèges des EPST ; et un collège unique des Epic. La participation se situe entre 10,96 % et 59,17 %, en fonction des différents collèges.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.