En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Les signataires du "pacte du pouvoir de vivre", notamment la CFDT, la CFTC et l’Unsa, appellent l’exécutif à mettre en place huit mesures d’urgence, lundi 17 juin 2019. "Ce sont les mesures que nous aurions aimé voir se concrétiser dans le discours du Premier ministre mais il n’est pas trop tard", commente Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT. Ils demandent que les minima sociaux évoluent "au même rythme" que les revenus du travail. Et souhaitent "encadrer étroitement les rémunérations et retraites chapeau démesurées".
Après la conférence de presse du chef de l’État (lire sur AEF info), "force est de constater que le compte n’y est pas sur de nombreux sujets essentiels, à commencer par l’absence de mesures concrètes permettant d’accélérer la transition écologique et solidaire", expliquent, jeudi 2 mai 2019, les 19 organisations signataires du "Pacte du pouvoir de vivre" au premier rang desquelles figurent la CFDT, la CFTC et l’Unsa (lire sur AEF info). "Nos organisations continueront à avancer ensemble pour que nos 66 propositions puissent trouver une réponse lors des prochaines semaines et prochains mois", ajoutent les signataires. Une première réunion doit se tenir lundi 6 mai entre le gouvernement, les partenaires sociaux, les associations et les organisations d’élus locaux pour aborder les questions d’emploi au regard des transitions et l’objectif de plein-emploi à l’horizon 2025.
La CFDT, la CGT, FO, la CFE-CGC, la CFTC, l’Unsa et la FSU appellent le gouvernement "à garantir enfin de réelles négociations", dans une déclaration commune, jeudi 6 décembre 2018, à l’issue d’une réunion intersyndicale. Cela suppose que les négociations soient "larges, ouvertes et transparentes, au niveau national comme dans les territoires", précisent les organisations syndicales. Elles décrivent la mobilisation des gilets jaunes comme "l’expression d’une colère légitime", tout en dénonçant "toutes formes de violence". Aujourd’hui se réunissent également les représentants du patronat.
Paru au Journal officiel du 6 août 2022, un arrêté daté du 3 août maintient le montant de la participation de l’État au financement de la contribution au développement de l’emploi à 102 % du montant brut horaire du Smic appliqué au nombre d’équivalents temps plein recrutés dans le cadre de l’expérimentation Territoires zéro chômeur de longue durée. Ce montant, versé aux entreprises à but d’emploi qui embauchent les demandeurs d’emploi répondant aux critères leur permettant d’intégrer l’expérimentation, s’applique du 1er juillet 2022 au 30 juin 2023.