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"Le paradoxe de la réforme de l’éducation prioritaire de 2014, qui se veut qualitative sur l’acte d’enseigner, est qu’elle consacre moins de 1 % des financements à la formation des enseignants", pointe Ariane Azéma, IGAENR, le 13 juin 2019, lors du colloque de la Revue internationale d’éducation de Sèvres. Elle identifie d’autres freins : un manque d’incitation à la stabilité des personnels et l’embauche de contractuels. Ariane Azéma, avec Pierre Mathiot, doit rendre en juillet un rapport sur la territorialisation des politiques éducatives, avant une réorganisation de l’éducation prioritaire.