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"L’Anssi accompagne, anime, prescrit, certifie… mais, in fine, l’effort de protection doit être contraint et fait par tous", déclare Claire Landais, mardi 4 juin 2019. La secrétaire générale de la défense et de la sécurité nationale s’exprimait lors d'une cérémonie organisée à Paris pour les dix ans de l’agence. Elle estime que "la protection des systèmes vitaux, des systèmes industriels, des objets connectés, des futurs réseaux 5G doit être une priorité", et que "l’État ne peut pas y parvenir seul". Claire Landais dresse en outre un panorama des grandes menaces en matière cyber.
Les "sondes" de détection de cyberattaques de Thales et Gatewatcher reçoivent le visa de sécurité de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, annonce cette dernière dans un communiqué, jeudi 4 avril 2019. Cette qualification entraîne l’entrée en vigueur des règles imposées aux opérateurs d’importance vitale en matière de détection des menaces cyber par la loi de programmation militaire de 2013.
"Il est très clair que certains cyberattaquants préparent des conflits futurs et sont en train positionner des charges afin d’être prêts à répondre si leurs autorités leur en donnaient l’ordre", prévient Guillaume Poupard, mardi 22 janvier 2019. Le directeur général de l’Anssi s’exprimait lors du FIC 2019. Ces attaquants "entrent dans des systèmes sans chercher d’effets immédiats", précise le responsable, selon lequel ces manœuvres proviennent de "services avec des moyens techniques et financiers importants". Il évoque en outre les prochaines évolutions quant à la détection des cyberattaques.
"La France a identifié 122 opérateurs de services essentiels au stade de l’échéance du 9 novembre 2018 fixée par la directive NIS", annonce l’Anssi (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information), vendredi 9 novembre 2018. Ces acteurs sont reconnus comme fournissant un service "dont l’interruption aurait un impact significatif sur le fonctionnement de l’économie ou de la société". La directive sur la sécurité des réseaux et des systèmes d’information, dite NIS, impose aux États membres de l’UE de définir les règles de cybersécurité auxquels ces opérateurs doivent se conformer.
"Il est temps de faire entrer la sécurité numérique dans le risk management, dans l’analyse, l’anticipation et la gestion du risque", affirme Guillaume Poupard, mercredi 10 octobre 2018 à Monaco. Le directeur général de l’Anssi s’exprimait en ouverture des Assises de la sécurité numérique et des systèmes d’information. Il annonce le lancement d’une nouvelle méthode d’analyse du risque cyber en entreprise. Baptisée "Ebios Risk Manager", celle-ci doit permettre "de mettre autour de la table les RSSI, mais aussi l’ensemble des décideurs, jusqu’au P-DG" sur la question du risque numérique.