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La Dares vient de publier la revue "Travail et Emploi", consacré au travail non qualifié. Un article concerne Pôle emploi et plus particulièrement le rôle de l’opérateur dans la définition et la formalisation des qualifications des chômeurs. L’auteur, Hadrien Clouet, montre "comment les demandeurs d’emploi et les conseillers négocient la qualification du travail, des emplois et des individus, au cours de leurs interactions en face-à-face". Les publics les moins valorisés "se retrouvent régulièrement (mais pas systématiquement) déqualifiés", précise-t-il.
En cas de licenciement nul ou sans cause réelle et sérieuse, le conseil de prud’hommes peut ordonner le remboursement par l’employeur fautif de tout ou partie des indemnités de chômage versées au salarié licencié, du jour de son licenciement au jour du jugement prononcé, dans la limite de six mois d’indemnités. L’article 64 de la loi du 5 septembre 2018 "pour la liberté de choisir son avenir professionnel" a simplifié la procédure permettant à Pôle emploi de recouvrer les sommes dues, en élargissant le pouvoir de contrainte dont dispose l’opérateur en matière de remboursement des prestations indûment versées. Un décret du 27 mars 2019, publié au Journal officiel du 30 mars, précise les conditions dans lesquelles Pôle emploi peut délivrer une telle contrainte, à l’issue d’une mise en demeure, et à défaut d’opposition du débiteur devant la juridiction compétente.