En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Comment les dirigeants de PME et TPE jugent-ils les actions de leur service de santé au travail ? Quel regard et quelles attentes ont-ils ? Autant de questions qui leur ont été posées par Présance (1), auxquelles ils répondent dans une étude sur les enjeux de santé et de sécurité au travail (2), publiée ce mardi 30 avril 2019
"Accompagner les patients guéris d’un cancer afin d’anticiper la reprise d’une activité professionnelle, de préparer leur retour à l’emploi" : c’est l’objet du programme Ratac (Retour au travail après un cancer) développé par l’Institut Curie. Un programme auquel s’associe le Sest (Service aux entreprises pour la santé au travail), un service de santé au travail interentreprises qui rassemble quelque 6 500 employeurs et plus de 100 000 salariés. Aujourd’hui, "une personne sur trois perd ou quitte son emploi dans les deux ans après un diagnostic de cancer", rappelle le Sest
Bien-être au travail et santé des salariés sont aujourd’hui mis en avant dans les politiques RH de bon nombre d’entreprises. Au-delà du respect des obligations légales, le but est de mieux concilier les temps de vie, améliorer les conditions de travail et faire baisser l’absentéisme. Un enjeu pour lequel "il est essentiel de changer de paradigme, en passant d’une logique de contraintes à une logique d’investissement", explique Guillaume Soenen, professeur de management à l’EM Lyon, à l’occasion d’une table ronde organisée dans le cadre de la Journée des entreprises au Sénat, le 28 mars 2019.
Les partenaires sociaux du groupe permanent du Coct vont se réunir à partir d’aujourd’hui chaque semaine jusqu’à la mi-juin afin de parvenir à un "document d’orientation" qui portera sur la réforme de la santé au travail à transmettre au gouvernement. Ce dernier leur a en effet proposé par un courrier de conduire une "réflexion partagée et structurée" sur deux axes : accompagner efficacement l’ensemble des entreprises dans la durée pour que se développe une véritable culture de prévention et mieux protéger la santé de tous les travailleurs et favoriser leur maintien en emploi. Les membres du GPO indiqueront au terme de ces travaux et des auditions qu’ils conduiront les domaines dans lesquels ils "souhaitent engager ou non une négociation" et "ceux pour lesquels ils souhaitent engager ou non une concertation".
Voici une sélection d’informations RH en bref pour la semaine du 30 janvier au 3 février 2023 :
Voici une sélection de brèves sur la protection sociale pour la semaine du 30 janvier au 3 février 2023 :
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 30 janvier 2023 :