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"Les sections de l’EPHE ont exprimé des craintes légitimes, que je partage pour partie, mais auxquelles PSL, j’en suis sûr, va apporter des réponses", déclare Jean-Michel Verdier, président de l’EPHE, dans une interview à AEF info, au lendemain d’un CA de PSL qui a porté sur les statuts (lire sur AEF info), le 19 avril 2019. Pour lui, la place prépondérante de Dauphine et de l’ENS dans le bureau du directoire est un "mauvais signal" envoyé à la communauté. Il appelle aussi de ses vœux la reformulation de l’article RH, afin de clarifier qu’il n’y a pas de véto du CA de PSL sur le recrutement des enseignants-chercheurs de l’EPHE. Si ces points évoluent, Jean-Michel Verdier se dit confiant sur le vote de son CA, rappelant que "les membres de l’EPHE sont dans l’ensemble très favorables au projet PSL et très proactifs". Il estime enfin que "l’EHESS a toute sa place dans PSL".
Lorsqu’une substance toxique est utilisée illégalement par un employeur, les salariés qui y ont été exposés peuvent obtenir une indemnisation réparant l’atteinte à leur dignité, distincte de celle qui répare leur préjudice d’anxiété. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt du 8 février 2023 qui figurera au rapport annuel. L’affaire concerne un site de Rhône Poulenc chimie, devenu Rhodia opérations, qui avait continué à utiliser de l’amiante illégalement entre 2002 et 2005.