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"L’ouverture des données, un défi pour l’intégrité scientifique ?", interrogeait l’une des tables rondes d’un colloque de l’Ofis (Office français de l’intégrité scientifique), le 4 avril 2019 à Paris. "La transparence, la reproductibilité et la fiabilité sont trois points fondamentaux de l’ouverture des données" qui favorisent l’intégrité scientifique, souligne notamment Nathalie Drach-Temam, vice-présidente recherche, innovation et science ouverte de Sorbonne Université. Il revient néanmoins aux établissements de mettre en place un accompagnement adapté des chercheurs.
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L’université́ Clermont Auvergne mène une réflexion depuis plusieurs années pour "des mécanismes incitatifs qui valorisent l’engagement dans la science ouverte", explique son président Mathias Bernard. Cette "stratégie d’encouragement" se traduit par des actions auprès des chercheurs. L’UCA appelle aussi à une "position ferme" vis-à-vis du groupe Elsevier et soutient l’idée, annoncée par le DGRI Bernard Larrouturou aux premières journées nationales de la Science ouverte (lire sur AEF info), "que les économies soient reversées en faveur de la science ouverte au niveau de chaque établissement".
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