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Le CGEDD a rendu un avis très critique sur le troisième plan national santé-environnement portant sur la période 2014-2019, publié le 8 avril 2019, alors que le gouvernement a lancé en janvier dernier la préparation du quatrième PNSE. L'inspection du ministère de la Transition écologique regrette une "absence totale d'indicateurs sur les effets attendus en matière de santé", une déclinaison territoriale qui "a beaucoup tardé", certains plans étant encore même en projet, ainsi qu'un "manque de moyens financiers et humains criants". Et ce malgré des "enjeux sanitaires et financiers majeurs".
La ministre de l'Écologie Ségolène Royal a reçu plusieurs personnalités "reconnues dans le domaine de la prévention des risques sanitaires liées aux alternations de notre environnement", lors d'une réunion de préparation du prochain PNSE (2014-2019), le 21 juillet 2014. "L'idée était de faire le point avec quelques experts sur la méthodologie d'élaboration du plan et les sujets qui étaient importants et qu'il ne fallait pas rater", explique à AEF Sophie Fleckenstein, chargée de mission santé et environnement pour FNE. Étaient également présents Francelyne Marano, présidente de la Société française de santé-environnement, Robert Barouki, médecin et expert en toxicologie, Jean-Félix Bernard, président de l'association Airparif, André Cicollela, président du Réseau environnement santé, Raymond Cointe, DG de l'Ineris, et Dominique Gombert, directeur de l'évaluation des risques à l'Anses.
L'Ineris présente, mardi 29 janvier 2013, le résultat de ses travaux visant à établir une méthode générale de hiérarchisation des substances chimiques préoccupantes. Prévue à l'action 5 du PNSE II (plan national santé-environnement 2008-2013), la mesure doit être utilisée pour préparer le PNSE III. Le PNSE II avait prévu de réduire de 30 % les rejets de six substances toxiques dans l'air et dans l'eau (benzène, HAP, PCB et dioxines, arsenic, mercure et solvants chlorés) entre 2007 et 2013, mais plusieurs parties prenantes avaient critiqué l'absence de transparence pour choisir ces molécules, rappelle Philippe Hubert, directeur des risques chroniques à l'Ineris. La nouvelle méthodologie permettra « de crédibiliser les choix par la transparence de ses critères ».
La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, et secrétaire d'État chargée de l'Écologie, Chantal Jouanno, ont présenté, mercredi 24 juin 2009, en conseil des ministres une communication sur le deuxième PNSE (Plan national santé-environnement) (L'AEF n°305113). Elles ont rappelé que ce deuxième PNSE, élaboré pour la période 2009-2013 fait partie des engagements pris lors du Grenelle de l'environnement en 2007. « L'État mobilisera 380 millions d'euros sur cinq ans pour la mise en œuvre de ce plan, auxquels s'ajoutent 110 millions consacrés à la recherche dans ce domaine, sur quatre ans », ont précisé les ministres.
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