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Zones à faibles émissions, véhicules autonomes et connectés, protection des données, mobilités douces, services en "free-floating"… Parmi les quelque 240 amendements adoptés le 6 mars 2019 par la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable du Sénat, plusieurs tendent à faciliter mais aussi à organiser la "révolution des mobilités". Ce faisant, les sénateurs espèrent aider au déploiement d'"une machine à désenclaver" plutôt qu’à celui d"une machine à créer des gagnants et des perdants". L’examen du texte en séance publique est prévu à partir du 19 mars.
La commission du développement durable de l’Assemblée nationale a procédé mercredi 20 février 2019 à la nomination de Jean-Luc Fugit (LREM, Rhône), par ailleurs président du Conseil national de l’air, comme co-rapporteur du projet de loi d’orientation des mobilités. Il remplace le député Matthieu Orphelin, qui a quitté le groupe LREM début février, sur le titre III (pollution de l’air). Les autres rapporteurs sont Bruno Millienne (Modem, Yvelines) pour le titre I (organisation territoriale), Bérangère Couillard (LREM, Gironde) pour le titre II (cadre juridique des innovations), Bérangère Abba (LREM, Haute-Marne) pour le titre IV (programmation des investissements) et Zivka Park (LREM, Val-d’Oise) pour le volet V (mesures de simplification). Présenté en Conseil des ministres le 27 novembre, le texte sera débattu au Sénat en premier lieu, en séance publique du 19 au 28 mars.
La deuxième chambre civile de la Cour de cassation rappelle dans un arrêt publié du 23 juin 2022 que Pôle emploi ne peut légalement récupérer les sommes indûment versées à un allocataire en procédant par retenues sur des échéances à venir lorsque le débiteur conteste le caractère indu des sommes ainsi recouvrées. Dans ce cas, seule la mise en œuvre de la procédure de recouvrement prévue à l’article L.5426-8-2 du code du travail -mise en demeure puis contrainte- est possible.