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Les élus de Metz Métropole ont rappelé "les enjeux et exigences d’équilibre des territoires au sein du projet de l’université de Lorraine", en votant une motion au conseil du 25 février 2019. Répartition de sièges entre Nancy et Metz, attribution des contrats doctoraux, report du projet d’école d’ingénieurs, etc. : "Aujourd’hui, un déséquilibre a grandi, et ce n’est pas acceptable", souligne le vice-président en charge de l’ESR, Gilbert Krausener. Un débat sur les règles de gouvernance de l’université et le développement du site messin s’est engagé avec son président, Pierre Mutzenhardt.
« La fusion des universités lorraines à peine réalisée, il est question de re-restructurer l'université de Lorraine. [Mais] il est temps d'arrêter de structurer, déstructurer, restructurer. L'objectif essentiel des personnels devrait être de consacrer le maximum de temps à former le mieux possible les étudiants. » Tels sont les termes d'une lettre ouverte de « tous les directeurs d'UFR et d'IUT des sites de Metz et de la Moselle » (au nombre de neuf) diffusée à la suite du lancement de la phase de « recomposition des collégiums » par un courrier du premier vice-président de l'UL daté du 30 janvier 2013. Cette démarche invite notamment à une réduction du nombre de composantes, au sein des collégiums. « Les six UFR messines et les trois IUT mosellans sont la seule expression démocratique relicte de feue l'université Paul Verlaine-Metz. Le présent projet vise à les démanteler en des composantes multi-sites, dont nous ne doutons pas qu'elles seront pilotées depuis Nancy, puisque la majorité des électeurs s'y trouve. S'il y a trop de composantes, ce n'est pas à Metz », ajoute la lettre ouverte.
Pour les personnels de l'université de Lorraine unifiée au 1er janvier dernier, « l'objectif est de stabiliser les règles de fonctionnement pour le 1er janvier 2013 », indique Pierre Mutzenhardt, premier président de l'université de Lorraine, élu le 25 mai (AEF n°214203), lors d'un point-presse à Metz, mercredi 4 juillet 2012. « Nous partons de régimes indemnitaires et de modes de gestion du temps de travail qui sont différents. Il faut du temps pour en discuter : le processus a été lancé, au sein du comité technique, avec les syndicats de personnels », annonce-t-il. Au-delà de ces aspects, le chantier engagé comporte également l'application du référentiel d'équivalences horaires pour les enseignants-chercheurs et la stabilisation des contractuels.