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Stéphane Lardy est officiellement nommé directeur général de France compétences par décret au Journal officiel du jeudi 28 février 2019. Il assurait cette fonction "par intérim" depuis la création effective de l’institution publique le 1er janvier 2019.
Destiné à préparer le plan de programmation des emplois et des compétences (PPEC), le rapport de la mission conduite par l’ex-présidente du Medef Laurence Parisot, a été remis le 19 février 2019 à François de Rugy et Muriel Pénicaud, respectivement ministres de la Transition écologique et du Travail. Parmi les douze recommandations de la mission, l’une vise à "suggérer à la nouvelle agence France Compétences d’ouvrir un chantier spécifique à la transition énergétique". Dans le cadre de la coopération entre acteurs pour le pilotage de la transition énergétique, le rapport mentionne qu’outre le dialogue entre partenaires sociaux, "une autre piste serait de tenir un dialogue régulier sur la transition énergétique au sein de la nouvelle agence France Compétences, acteur central du nouveau dispositif de la formation professionnelle réunissant l’État, les régions et les partenaires sociaux".
Les 15 membres du conseil d’administration du France compétences, et leurs suppléants, sont officiellement désignés à la suite de la publication au Journal officiel du 15 janvier 2019 de l’arrêté de nomination des 13 derniers membres. Les deux personnalités qualifiées avaient déjà été nommées le 6 janvier. Des nominations qui interviennent à deux jours du premier CA de l’institution nationale qui doit définir ses modalités de fonctionnement mais aussi dresser un bilan des travaux sur le CEP (conseil en évolution professionnelle). Le président de France compétences devrait être nommé d’ici là.
Le Conseil d'État confirme le 22 mars 2023 l’annulation de l’homologation du document unilatéral relatif au plan de sauvegarde de l’emploi de l’Afpa, au motif que l’administration n’a pas vérifié le respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Les hauts magistrats précisent à cette occasion l’étendue du contrôle par l’administration, à l’occasion de l’examen d’un PSE, du respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques psychosociaux.