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L’usine Bridgestone de Béthune envisage de faire travailler ses ouvriers 11 jours de plus par an, dans un projet d’accord soumis aux syndicats. "Nous demandons aux salariés d’accepter une augmentation de leur temps de travail de 5,7 % qui sera compensée progressivement par des hausses de salaire sur trois ans et par trois jours de congé payé supplémentaires", résume Sébastien Tranchant, DRH du site. "Cet effort sur les coûts doit nous permettre de regagner en compétitivité", ajoute-t-il. Ces propositions sont jugées "totalement hallucinantes" par la majorité des organisations syndicales.
"Quelles sont les conditions de l’acceptabilité sociale des accords de performance collective", créés par ordonnance en septembre 2017 ? Telle était la question posée à des organisations syndicales et patronales, des cabinets de consultants et avocats d’employeurs et de salariés, lors d’un "café social" organisé par Miroir Social à Lyon jeudi 24 janvier 2019. Dans quels cas recourir à un APC ? Ces accords sont-ils susceptibles de provoquer des résistances des organisations syndicales ? Autant de questions auxquelles ont tenté de répondre les intervenants.