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"C’est avant tout le caractère extrêmement différencié des mobilités résidentielles, de leurs effets sur les territoires et sur les individus, qui apparaît" dans le dernier rapport de l’Observatoire des territoires du CGET dédié à cet enjeu, paru vendredi 22 février 2019. Ses auteurs invitent à déplacer "le débat classique entre 'aménager' ou 'déménager' […] en remettant la profonde différenciation sociale du processus de mobilité au cœur des enjeux de la politique publique".
Un décret publié au Journal officiel le 26 décembre 2017 prolonge de cinq ans la mission de l’Observatoire des territoires du CGET, placé auprès du ministre chargé de l’aménagement des territoires, à compter du 1er janvier 2018. La composition et la présidence de son conseil d’orientation sont modifiées, avec l’introduction, notamment, d’un collège "expertise territoriale". L’observatoire devra désormais animer un site internet.
L'effacement des consommations résidentielles pourrait « permettre aux consommateurs de réaliser des économies d'énergie », explique l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) dans un avis du 8 octobre 2012 sur cette technique, faisant part des premiers résultats d'une étude menée avec le CSTB (centre scientifique et technique du bâtiment). « Ainsi, des coupures de l'alimentation du chauffage et de l'eau chaude électrique pendant 15 à 20 minutes par heure permettraient de réaliser les jours où elles sont pratiquées, une économie moyenne de l'ordre de 7 à 8 % de la consommation totale journalière d'électricité. À titre de comparaison, cela équivaut à l'économie d'énergie obtenue en baissant de 1°C la température dans le logement. »