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"Il n’y a pas de sujet, pas de blocage sur le fond" à propos du PIC en Paca en 2019-2022. Mais "si la référence, c’est le budget 2017, il faut en retirer 17 M€ correspondant à la queue de comète d’un dispositif que nous avons arrêté", déclare Yannick Chenevard, vice-président (LR) du conseil régional Paca délégué à l’emploi, la formation professionnelle et l’apprentissage, joint par AEF info mercredi 6 février 2019. Les "échanges" se poursuivent avec l’État, assure-t-il alors que Muriel Pénicaud a acté la non-signature du PIC avec la région Auvergne-Rhône-Alpes (lire sur AEF info).
La région Paca s’engagera dans le PIC pour 2019-2022, confirme Renaud Muselier, président (LR) du conseil régional, à l’occasion de la célébration des 20 ans des Écoles de la deuxième chance à l’E2C de Marseille, jeudi 28 juin 2018. La dotation de l’État pourrait s’élever à 534 M€ sur la période, indique la collectivité d’après le courrier adressé le 6 juin 2018 par le ministère du Travail à son président. Renaud Muselier propose de mettre les E2C "au cœur du PIC" et de faire de leur développement "un axe fort de notre futur partenariat", a-t-il dit à l’intention de la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, qui avait fait le déplacement. Le PIC constitue "un effort sans précédent au bénéfice de la formation des publics éloignés de l’emploi", a souligné Renaud Muselier qui "sera heureux de le signer". La région Paca n’avait pas souhaité signer la convention d’amorçage du plan sur 2018.
Élu député de la Charente sous les couleurs d’Horizons, le parti d’Édouard Philippe, en juin 2022, Thomas Mesnier, dont l’élection avait été invalidée par le Conseil Constitutionnel, a échoué à se faire réélire dimanche. Il a en effet perdu l’élection partielle face à René Pilato, candidat de la LFI-Nupes. Médecin urgentiste, il avait rejoint En Marche ! en avril 2016 avant de devenir référent départemental du mouvement d’Emmanuel Macron. En 2021, il avait intégré le bureau politique d’Horizons et devenait porte-parole aux côtés d’Agnès Firmin-Le Bodo, actuelle ministre en charge des professions de santé. Sur BFM-TV, il a estimé avoir été victime d’un effet "anti-réforme des retraites". Ancien rapporteur du PLFSS est aussi corédacteur d’une proposition de loi sur l’accès aux soins instaurant une obligation de participer au SAS, rejetée par plusieurs syndicats médicaux.