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Le professeur Jean-Luc Harousseau, ancien président de la Haute autorité de santé, est nommé président de la Fondation des entreprises du médicament pour l’accès aux soins, annonce la fondation dans un communiqué daté du 24 janvier 2019. Par ailleurs, Thomas Borel est élu délégué général de cette fondation, créée en 2008 à l’initiative du conseil d’administration du Leem.
"Je ne suis pas un homme de pouvoir mais un homme de challenges". Cette formule est celle ciselée par Jean-Luc Harousseau, président du Collège de la HAS depuis 2011, à l'heure de justifier la décision qui l'amène à quitter ses fonctions un an plus tôt "pour des raisons personnelles", essentiellement familiales. À l’issue d’une conférence de presse de rentrée en marge d’un colloque organisé le 1er octobre 2015 à Paris, il rappelle être arrivé "en plein drame du Mediator, ce qui pour le président d'une institution sanitaire n'était pas simple". Il voulait faire évoluer l'institution sur le fond, notamment en introduisant une vision médico-économique, et sur la forme, en rendant plus lisibles certaines des productions auprès du grand public. Le trio lisibilité-réactivité-complémentarité était inscrit dans sa feuille de route. "Tous les chantiers ont été mis en place", assure-t-il.
L’avenant 6 à la convention nationale a été approuvé par un arrêté ministériel du 24 mars publié mardi au Journal officiel. L’Organisation nationale syndicale des sages-femmes (ONSSF), majoritaire, qui avait fait opposition au texte, a "laissé faire", après que la Cnam lui a signifié que cette opposition rencontrait un problème juridique, indique le syndicat. En contrepartie, doivent d’ouvrir le 4 avril prochain des négociations d’un avenant 7, qui n’était pas prévu initialement au calendrier, afin "de rediscuter de la rémunération des sages-femmes libérales, plus basses que celles d’autres professions médicales", poursuit l’ONSSF. L’avenant 6 introduit la possibilité pour les patientes de déclarer à l’Assurance maladie le nom de leur sage-femme référente, définit les missions de cette dernière et les valorise à hauteur de 45 euros. Il valorise également l’intervention des sages-femmes réalisant des accouchements en maisons de naissance ou en plateaux techniques dans les établissements de santé.