En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
La gendarmerie présente à l’occasion de la réunion de son conseil scientifique, jeudi 31 janvier 2019, une dizaine de projets d’innovation élaborés dans le cadre d'un programme intitulé "Disrupt". Développer de nouveaux procédés d’analyse de l'ADN osseux, reconstituer l’histoire d’une scène de crime à partir d’ADN de végétaux ou d’animaux, reconnaître l’empreinte olfactive d'un auteur d'infraction font partie des axes de recherche. D’autres techniques visent à lutter contre les images pédopornographiques ou à conserver des preuves sur le darkweb. Un bilan sera tiré en décembre 2019.
Un arrêté du général Richard Lizurey publié au Bulletin officiel du ministère de l’Intérieur, mercredi 15 novembre 2017, crée un "observatoire national des sciences et des technologies en lien avec la délinquance". Rattaché au directeur général de la gendarmerie nationale, cette structure "a pour mission d’organiser les échanges entre la gendarmerie nationale et les partenaires extérieurs, notamment scientifiques", en matière "de recherche académique à l’horizon de trois à cinq ans", "de technologies de rupture et d’innovations développées ou suivies par la gendarmerie", et "d’évaluation de la menace (utilisation des sciences et des technologies à des fins malveillantes)", précise le texte. L’observatoire est organisé en trois "pôles". En août 2017, le général Richard Lizurey avait créé un "conseil scientifique de la gendarmerie" chargé d’orienter les travaux de cet observatoire.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :