En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
À la fin de son mandat de directrice du centre de recherche de l’Institut Curie, Geneviève Almouzni, directrice de recherche au CNRS, a choisi, de se consacrer, avec son collègue Nikolaus Rajewsky de Berlin, au projet européen LifeTime sur l’étude des cellules, porté par l’Institut Curie et le CNRS en France et l’association Helmholtz en Allemagne. Le projet vient d’être présélectionné dans le cadre du programme européen FET, dont le soutien par projet est de l’ordre du milliard d’euros sur dix ans. Pour l’heure, LifeTime bénéficie d’un million d’euros pour finir de se structurer avant la sélection finale, dans un an. "Il est évident que l’on n’improvise pas dans ce genre de projet", explique Geneviève Almouzni dans une interview à AEF info. Revenant sur son bilan de directrice du centre de recherche de l’Institut Curie, elle évoque aussi PSL et la place des femmes dans la recherche.
Les biologistes Geneviève Almouzi, directrice de l'UMR (unité mixte de recherche) « dynamique nucléaire et plasticité du génome » (CNRS-Institut Curie), et Philip Avner, directeur de l'unité de génétique moléculaire murine (CNRS-Institut Pasteur) et directeur du département de biologie du développement à l'Institut Pasteur de Paris, reçoivent le grand prix scientifique 2011 de la Fondation Louis D., mercredi 8 juin 2011, sous la coupole de l'Institut de France, à Paris. « Considéré comme 'le prix Nobel français' », selon l'Institut, ce prix est doté de 750 000 euros et son édition 2011 « encourage des recherches portant sur l'influence de l'environnement extérieur sur l'héritage génétique ».
L’avenant 6 à la convention nationale a été approuvé par un arrêté ministériel du 24 mars publié mardi au Journal officiel. L’Organisation nationale syndicale des sages-femmes (ONSSF), majoritaire, qui avait fait opposition au texte, a "laissé faire", après que la Cnam lui a signifié que cette opposition rencontrait un problème juridique, indique le syndicat. En contrepartie, doivent d’ouvrir le 4 avril prochain des négociations d’un avenant 7, qui n’était pas prévu initialement au calendrier, afin "de rediscuter de la rémunération des sages-femmes libérales, plus basses que celles d’autres professions médicales", poursuit l’ONSSF. L’avenant 6 introduit la possibilité pour les patientes de déclarer à l’Assurance maladie le nom de leur sage-femme référente, définit les missions de cette dernière et les valorise à hauteur de 45 euros. Il valorise également l’intervention des sages-femmes réalisant des accouchements en maisons de naissance ou en plateaux techniques dans les établissements de santé.