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Alors que se met progressivement en place la réforme du RAC 0, le syndicat d’audioprothésistes Unsaf dresse ce 16 janvier 2019 un bilan des avancées de cette réforme. Pour l’Unsaf, le "100 % santé" est un succès "historique" à la fois pour les assurés, mais également pour les audioprothésistes, qui n’ont jamais bénéficié d’une telle exposition à l’occasion des négociations. Souhaitant capitaliser sur le succès de ces négociations, le président de l’Unsaf propose aux complémentaires d’établir de nouveaux conventionnements nationaux, en oubliant le précédent modèle des réseaux de soins.
Le syndicat Unsaf, dans un communiqué publié ce 14 novembre 2017, demande une suspension de tout nouveau conventionnement par les réseaux de soins, "dans l’attente de la mise en œuvre effective des actions correctives immédiates recommandées par l’Igas…". S’appuyant sur le dernier rapport Igas sur les réseaux de soins (sur AEF), l’Unsaf relève que deux recommandations de l’inspection générale justifient pour elle une "action corrective immédiate des pouvoirs publics : il s’agit d’abord de "procéder à une évaluation juridique approfondie du dispositif conventionnel sur lequel reposent les réseaux de soins", et ensuite d'"améliorer la sécurité des données à caractère personnel et médical collectées par les réseaux de soins". L’Unsaf demande donc qu’aucun nouveau conventionnement ne soit conclu le temps que ces recommandations soient effectivement mises en œuvre.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.