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"Je n’ai jamais vu un policier ou un gendarme attaquer un manifestant ou un journaliste", déclare Christophe Castaner, lundi 14 janvier 2019, à Carcassonne. Le ministre de l'Intérieur s’exprimait lors d’un point presse. "Par contre, je connais des policiers et des gendarmes qui utilisent des moyens de défense", poursuit-il en réponse à une question sur les enquêtes ouvertes pour des soupçons de violences policières sur des "gilets jaunes". "Chaque fois qu’il y a une plainte, elle fait l’objet d’une instruction. C’est normal, nous devons à la fois l’exemplarité et la transparence."
Vingt-et-un signalements pour des soupçons de violences commises par des gendarmes sur des "gilets jaunes" ont été portés à la connaissance de l’IGGN, révèle Gendarmes et citoyens, dimanche 13 janvier 2019. "Aucun n’a fait l’objet de saisine judiciaire ou administrative. Il est donc difficile de venir taxer les gendarmes de 'moutons violents à la botte du gouvernement'", estime l’APNM, alors que l’IGPN était pour sa part saisie de 78 enquêtes judiciaires, vendredi 11 janvier 2019 (lire sur AEF info). Le "sang-froid" des gendarmes et la "doctrine du maintien de l’ordre", qui place "en première ligne" des gendarmes mobiles formés, expliquent l’absence de poursuites, assure-t-elle. L’association tire en outre "le signal d’alarme sur l’état de fatigue des personnels". Selon elle, les conséquences des suspensions de repos et de permissions "pourraient s’avérer tragiques".
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :